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Eh oui, malheureux, vous avez atterri sur un blog personnel inutile...



Alors pour faire court : je n'ai toujours pas de passion à transmettre, pas vraiment de vie professionnelle exaltante à raconter, surtout pas d'enfants à élever, pas des masses d'amis, mais bon, des fois j'ai des collègues de bureau...



jeudi 4 octobre 2012

le bon hôte

Dans mes journées de glande, j'ai quand même des objectifs bien précis, histoire de ne pas sombrer dans le chaos total.

Désormais lorsque le réveil de l'homme de la maison sonne à 07h, j'arrive à me rendormir. Même lorsqu'il repasse un peu avant 8h, l'haleine caféinée, me faire une bise sous la couette en me lançant un "à ce soir" pas trop fort, j'arrive à somnoler jusqu'à 08h30 - 09h - des fois même 9h30.

MAIS 9h30 c'est le dernier dernier dernier des délais pour sortir mes jambons du lit.
Car à 09h30 il y a Amour Gloire et Beauté et dès lors, tout s'enchaîne très vite : préparation du petit dej + AGB + douche, difficile de faire 3 choses à la fois.

A 10h, lorsque l'agitation est enfin retombée, je traîne devant l'ordinateur, je me regarde dans la glace et si je n'ai pas pris une douche avant le feuilleton hollywoodien, j'accède à la salle de bains.

Des fois, en milieu de matinée, il me prend d'aller regarder le courrier dans la boîte aux lettres ou de descendre les poubelles.
Après, je continue mon roman jusqu'au repas de midi en fondu enchaîné avec les Feux de l'Amour, parfait pour plier du linge ou ranger le bordel ambiant. Et paf, ensuite c'est 2-3 courses histoire de montrer à l'homme de la maison que j'ai quand même fait des trucs et repaf, c'est le soir.


Alors quand de charmants lecteurs se font du souci pour moi et m'obligent à "glander utile" et regarder une pièce de théâtre en allemand qui passe sur ARTE et qui dure 2 heures alors que je suis en pleine préparation de coulis de tomates ramenées du weekend beauparental, là je dis non !

M'enfin, ça m'a quand même montré que les vrais acteurs ne se reposent pas sur leurs lauriers en glandant chez eux. Dans cette pièce, ils sautaient comme des fous furieux sur un trampoline géant tout en jouant, déclamant leur texte (en allemand en plus !) et en se cassant la figure, le tout sans être essoufflé.

Ah, c'est ça être comédien ?
Bon ben finalement, la glande, j'aime bien.



xoxo

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Justement, je pensais que toi seule pouvais nous éclairer : qu'est-ce-qu'on peut bien avoir à se dire en hurlant, en allemand de surcroit, et en sautant aussi fort sur un trampoline.
Nous laisser dans une telle perplexité alors que j'étais tellement avide de savoir...!
Surtout que franchement, c'était compatible avec un coulis.
Non, peut-être pas finalement: à l'épluchage, tu risquais un doigt en moins, surprise par un cri guttural inapproprié.
C.