Mes quatre jours de disparition de la maison n'ont pas eu un effet boeuf.
Les objets laissés au hasard (étendage avec linge, arrosoir sur tapis, pot de peinture par terre) ont pris racine ou alors, faute de mieux, ils ont été translatés mais pas rangés pour autant.
Par contre, l'homme de la maison en a profité pour faire la tournée des caves avec son chéquier et ainsi remplir sa cave à vin, laquelle, à mon avis, n'était pas "si vide" que ça.
A la question : "t'es tu laissé déborder ?" l'homme célibataire a répondu "oui... mais j'ai réussi à tout ranger avant que tu ne rentres". Bravo.
Comme quoi, après 10 ans d'éducation, j'ai au moins réussi à ce que tout débordement de bordel n'arrive pas jusqu'à à mes yeux. Il a réussi à préserver mon énervement, c'est déjà mieux que rien.
xoxo
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