J'en discutais dernièrement avec ma môôôman, la vie n'est qu'une succession de choix. Je n'arrête pas de me demander si j'ai fait "le bon choix".
Ai-je bien fait de manger ce soir des spaghetti à la saucisse turque à l'ail et à la crème fraîche car il n'y avait plus que cela dans le frigo ? (attend, on va pas laisser gâcher de la crème fraîche alors que d'habitude il n'y en a JAMAIS à la maison = justification bidon pour se donner bonne conscience).
Ai-je bien fait de prendre cette direction professionnelle ? (ma feuille de paie dit que OUI)
Ai-je bien fait de renoncer à la maternité ? (ma copine B. dit que OUI)
Ai-je bien fait de traiter une collègue de travail de connasse aujourd'hui à table ? (devant mes autres collègues qui vont s'empresser de le colporter et ça va lui revenir aux oreilles à un moment donné.......... NOOOOOOOOOOOOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII)
Ai-je bien fait de miser sur la mode des poils aux jambes (elle ne revient jamais cette putain de mode, alors que toutes les autres modes reviennent tous les 10 ans, comme le fluo ou les chouchous dans les cheveux ou le jean neige NON en ce moment, mais OUI quand je serai morte sûrement...)
Ai-je bien fait de laisser tomber l'écriture de la nouvelle numéro 3 et l'écriture tout court (mon cerveau dit que NON)
Bon pour certaines choses, j'aurais bien le choix mais je ne préfère pas choisir.
Comme :
- les mecs, pffffffffffffffff trop fatiguant d'en chercher un autre alors que cela fait 10 ans que je dresse à coups d'insinuations et à coups de gueule le gros barbu qui partage ma couche
- le gras, pfffffffffffffffffffff trop fatiguant de chercher à l'enlever de son corps qui ne sait que le stocker pour des hivers difficiles
- l'alcool, pfffffffffffffffffff trop dur de choisir, alors je bois.
et des tas d'autres choses sûrement...
xoxo
PS : à mes lecteurs et lectrices assidu(e)s : Merci pour les conseils santé beauté bien-être, je commence une cure de magnésium pour dormir, doublée d'une cure de levure de bière pour ma chevelure paillasse et mes ongles mous. Je vous en dirai des nouvelles.
mercredi 30 mai 2012
jeudi 24 mai 2012
sommeil
J'ai sommeil ! Il est 6h54 et j'ai sommeil ! Je suis réveillée depuis 5h du matin mais sans frissons et sans claquement de dents et sans monter le son.
Cela fait un bon moment que mes nuits ne contiennent que maximum 6 heures de sommeil. Alors que jusqu'à maintenant, on me surnommait "la marmotte". Je dois donc abandonner ce surnom, impossible quand dès 6 heures du matin je m'affaire comme une folle dans l'appartement même le dimanche matin.
Le lit reste tout de même mon meilleur ami... même si mon corps en ce moment n'arrive pas à y rester endormi assez longtemps à mon goût.
xoxo.
PS : c'est nul hein après 15 jours sans rien écrire hein ? Autant dire que mes heures de sommeil en moins m'ont complètement coupé la chique et l'inspiration divine pour tenir ce blog lu par personne.
xoxo
PPS : mais bon, pas de soucis, rien n'a changé : j'ai toujours ... ma vedette, mon café de 10h30, ma place dans mon train, mes chefs teutoniques, neurasthéniques et ultra surchargés stressés, mes collègues pleurnicheuses... Par contre, plus un seul mec potable dans le train, un désert total... Je vais bientôt être obligée de rabattre mes fantasmes sur la vedette !!!
xoxo
Cela fait un bon moment que mes nuits ne contiennent que maximum 6 heures de sommeil. Alors que jusqu'à maintenant, on me surnommait "la marmotte". Je dois donc abandonner ce surnom, impossible quand dès 6 heures du matin je m'affaire comme une folle dans l'appartement même le dimanche matin.
Le lit reste tout de même mon meilleur ami... même si mon corps en ce moment n'arrive pas à y rester endormi assez longtemps à mon goût.
xoxo.
PS : c'est nul hein après 15 jours sans rien écrire hein ? Autant dire que mes heures de sommeil en moins m'ont complètement coupé la chique et l'inspiration divine pour tenir ce blog lu par personne.
xoxo
PPS : mais bon, pas de soucis, rien n'a changé : j'ai toujours ... ma vedette, mon café de 10h30, ma place dans mon train, mes chefs teutoniques, neurasthéniques et ultra surchargés stressés, mes collègues pleurnicheuses... Par contre, plus un seul mec potable dans le train, un désert total... Je vais bientôt être obligée de rabattre mes fantasmes sur la vedette !!!
xoxo
mercredi 9 mai 2012
Se réjouir
3 semaines que je n'ai rien eu envie d'écrire.
Et pourtant, que de choses à dire, sources de joie, de circonspection ou de douce tristesse, en vrac et pas dans l'ordre :
- 2 weekends de 4 jours, vitaux après 6 mois non stop sans vacances
- 1 nouveau président de la république
- des nièces toujours aussi vives et papoteuses et qui en plus font du trampoline... ou plutôt du "twampoyine"
- un papa qui m'a préparé avec amour un énorme jambon fumé
- un serrage de main au président de la grande entreprise mondiale (celui qui a un chauffeur et une énorme voiture)
- un serrage de main et une présentation en bonne et due forme à son "chargé de mission"
- 2 journées et demi de déplacements professionnels dans une ville thermale frontalière à charger, décharger, emballer, déballer des appareils électriques lourds ou fragiles
- un enterrement de vie de jeune fille à l'accrobranche mais finalement il pleut donc au bowling puis au restaurant puis dans une boîte de nuit (d'ailleurs, petite revérification : je me suis souvenu que je n'aimais pas les boîtes de nuit).
- une customisation de tee shirt lors de l'enterrement de jeune fille où je me la suis pétée car a priori "je suis une artiste du stylo feutre sur tee-shirt blanc"
- un homme de la maison qui enfin après 3 semaines de bricolage/glandage à la maison a repris le chemin du VRAI travail
- des échéances stratégiques du boulot étant tombées et terminées, je peux désormais retravailler normalement et pas en apnée en attendant de me faire jeter par les gens stressés.
- 6 mois non stop sans vacances (oui je me répète) qui laissent des traces indélébiles : des cheveux ternes et secs et vraiment pas beaux du tout, 3 kilos en plus, impossible de tenir le pari des 74 jours sans alcool et une fâcheuse tendance à vivre, dormir (pas très bien) et manger en pensant au boulot
- un manque d'improvisation flagrant
- une première discussion intéressante avec ma vedette de mon train, non initiée par moi même mais par la vedette
- dans 3 jours un montage de décors puis un jouage sur scène puis un démontage de décors
- une réflexion sur "que faire en impro l'année prochaîne" qui permet de se projeter dans l'avenir de manière sympathique
- le calcul que maintenant il ne me reste plus que 18 semaines de travail
- le calcul que maintenant il ne me reste plus que 30 ans à travailler
- le calcul que je me suis réveillée à 4h30 ce matin et que je tapote sur mon blog à 06h24 et que je suis une malade mentale car ce soir j'ai répet et que je vais être plus que décalquée
- une panne de moteur de la voiture sous la pluie sur l'autoroute hier en revenant du weekend de l'élection présidentielle avec arrêt à la borne orange, appel de dépanneuse, remorquage, taxi, tout le tintouin
- une envie pressante d'aller voir mes mails du boulot mais il ne faut pas alors je vais éteindre l'ordinateur et plutôt revoir mon texte de théâtre.
sur ce !
xoxo
Et pourtant, que de choses à dire, sources de joie, de circonspection ou de douce tristesse, en vrac et pas dans l'ordre :
- 2 weekends de 4 jours, vitaux après 6 mois non stop sans vacances
- 1 nouveau président de la république
- des nièces toujours aussi vives et papoteuses et qui en plus font du trampoline... ou plutôt du "twampoyine"
- un papa qui m'a préparé avec amour un énorme jambon fumé
- un serrage de main au président de la grande entreprise mondiale (celui qui a un chauffeur et une énorme voiture)
- un serrage de main et une présentation en bonne et due forme à son "chargé de mission"
- 2 journées et demi de déplacements professionnels dans une ville thermale frontalière à charger, décharger, emballer, déballer des appareils électriques lourds ou fragiles
- un enterrement de vie de jeune fille à l'accrobranche mais finalement il pleut donc au bowling puis au restaurant puis dans une boîte de nuit (d'ailleurs, petite revérification : je me suis souvenu que je n'aimais pas les boîtes de nuit).
- une customisation de tee shirt lors de l'enterrement de jeune fille où je me la suis pétée car a priori "je suis une artiste du stylo feutre sur tee-shirt blanc"
- un homme de la maison qui enfin après 3 semaines de bricolage/glandage à la maison a repris le chemin du VRAI travail
- des échéances stratégiques du boulot étant tombées et terminées, je peux désormais retravailler normalement et pas en apnée en attendant de me faire jeter par les gens stressés.
- 6 mois non stop sans vacances (oui je me répète) qui laissent des traces indélébiles : des cheveux ternes et secs et vraiment pas beaux du tout, 3 kilos en plus, impossible de tenir le pari des 74 jours sans alcool et une fâcheuse tendance à vivre, dormir (pas très bien) et manger en pensant au boulot
- un manque d'improvisation flagrant
- une première discussion intéressante avec ma vedette de mon train, non initiée par moi même mais par la vedette
- dans 3 jours un montage de décors puis un jouage sur scène puis un démontage de décors
- une réflexion sur "que faire en impro l'année prochaîne" qui permet de se projeter dans l'avenir de manière sympathique
- le calcul que maintenant il ne me reste plus que 18 semaines de travail
- le calcul que maintenant il ne me reste plus que 30 ans à travailler
- le calcul que je me suis réveillée à 4h30 ce matin et que je tapote sur mon blog à 06h24 et que je suis une malade mentale car ce soir j'ai répet et que je vais être plus que décalquée
- une panne de moteur de la voiture sous la pluie sur l'autoroute hier en revenant du weekend de l'élection présidentielle avec arrêt à la borne orange, appel de dépanneuse, remorquage, taxi, tout le tintouin
- une envie pressante d'aller voir mes mails du boulot mais il ne faut pas alors je vais éteindre l'ordinateur et plutôt revoir mon texte de théâtre.
sur ce !
xoxo
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