Mon cerveau a la fâcheuse habitude de me commander de me ruer sur la bouffe et l'alcool pour toutes les raisons possibles et inimaginables. Il fait beau, il fait froid, je stresse, je suis contente... Bref la moindre contrariété ou la moindre joie me fait sauter sur la bouteille et la bouffe.
C'est pourquoi, lorsqu'il a fallu tenir deux jours de weekend à regarder des spectacles de merde horripilants dès 10 heures le matin lors d'un festival à la sale ambiance, encroûté et poussiéreux, j'ai ingurgité un nombre de verres d'alcool, de gras de frites et de viande rouge saignante au dessus de la limite du tolérable.
Résultat je me suis tapé dimanche soir et lundi toute la journée un mal-être au niveau des intestins et du cerveau plutôt carabiné. Malheureusement mon cerveau n'apprend jamais. Jamais jamais jamais il me dira : "Ce n'est pas grave, pas besoin de commander un litre de rouge à la serveuse, pas besoin de lui demander de rajouter de l'huile sur tes frites, pas besoin de te goinfrer. Ce n'est pas cela qui va résoudre ta petite contrariété du jour... Fais avec bordel et mange léger avec de l'eau, tu te sentiras mieux après ! Pense aux conséquences intestinales, grosse conne !"
Connard de cerveau !
xoxo
1 commentaire:
Bonne description de TdS, Sonia. Bravo !
;-)
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