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Eh oui, malheureux, vous avez atterri sur un blog personnel inutile...



Alors pour faire court : je n'ai toujours pas de passion à transmettre, pas vraiment de vie professionnelle exaltante à raconter, surtout pas d'enfants à élever, pas des masses d'amis, mais bon, des fois j'ai des collègues de bureau...



dimanche 19 février 2012

la paresse

Comme le dit si bien une fidèle lectrice, il y a "du mou dans la bretelle". Charmante expression que je ne connaissais point pour décrire l'état vaseux dans lequel se trouve ce blog.

Alors faisons un point, un état des choses étape par étape en prenant les éléments constitutifs ma vie dissolue de femme de bureau les unes à la suite des autres.

1) le bureau

Au bureau j'avais une petite stagiaire depuis 6 semaine avec qui tout se passait très bien.  Depuis deux semaines nous sommes 3 dans l'espace plus très open. J'ai accueilli une petite chef de projet toute neuve, toute belle, toute salope.
Taille 34, 24 ans, 39 kilogrammes toute mouillée mais avec un ego surboosté à la testostérone et un CV lourd comme une valise de plomb.
Dès le premier jour, mademoiselle savait tout et n'attendait même pas les réponses à ses questions, elle avait déjà tout compris avant même d'avoir terminé de poser ses questions.
Mademoiselle a travaillé (enfin... été stagiaire...) dans les plus grandes entreprises du luxe français à Paris et souhaitait se rapprocher des bouseux, ce qui fait qu'elle a atterri dans mon bureau et c'est bibi qui se la colle depuis.
J'ai donc désormais 2 poules sorties de grandes écoles de commerce tailles 35 en moyenne car l'une fait du 34, l'autre du 36. Je me sens d'un coup vieille, grosse et conne.

Autant j'arrivais bien à supporter la première car elle est discrète et pas bêcheuse, par contre, j'ai légèrement du mal à encaisser la numéro 2.
C'est tout con, elle se parfume à la sulfateuse le matin, et son parfum ne me revient pas, mais alors pas du tout.


ah le parfum... Ca vous excite ou ça vous tue.

xoxo

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Merci pour le "parfume à la sulfateuse" qui m'a fait bien rigoler devant mon écran.
Toutefois, je suis de tout coeur avec toi : j'ai trop de respect pour le parfum pour supporter ce genre de marquage de territoire outrancier.
Bon courage parce que, à part le coton dans les narines, tu n'as pas vraiment d'alternatives...
Bon courage avec tes 2 tailles 35, pas beaucoup de feeling avec cette engeance aussi, surtout quand c'est assorti avec cette suffisance...!!!
C.