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Eh oui, malheureux, vous avez atterri sur un blog personnel inutile...



Alors pour faire court : je n'ai toujours pas de passion à transmettre, pas vraiment de vie professionnelle exaltante à raconter, surtout pas d'enfants à élever, pas des masses d'amis, mais bon, des fois j'ai des collègues de bureau...



lundi 29 septembre 2008

Catch forever !

Je ne sais pas comment débuter ce compte-rendu...

Il m'est difficile de décrire de manière détaillée et réaliste et attrayante l'état d'excitation, l'ambiance, la montée d'adrénaline, la puissance dramatique, les retournements de situations, les muscles, la sueur, les tissus pailletés, brillants, simili cuir, les nichons et les cuissaux des catcheuses, les épaules des catcheurs, les jets de salive, les face à face tendus, les matchs à 4 où ça fuse de partout, les sauts des 3èmes cordes, le 619 de rey mysterio, le combat de poubelles, ... ce fut ENORME.

Côté athlètes :
8 combats, 4 meufs, 18 testostéronés.

Côté speakers :
1 bombasse blonde en mini jupe et bottes

Côté public :
Des fans, des fans, des fans et encore des fans avec pancartes, tee-shirts, ceintures de champions.

Côté chiottes :
Zéro minettes donc zéro attente. Rien que pour ça, j'y retourne l'année prochaine !

Côté ambiance :
Des cris, des sifflets, une marseillaise chantée, des slogans genre "you suck" pour les nuls, "you can wrestle" pour les bons.

Côté dramatique :
- Les méchants sont hués.
- Les gentils sont acclamés.
- Une pancarte "Vive la rillette".

Côté apprentissage :
Le lendemain à l'hôtel, au petit dej, nous avons pu discuter avec nos voisins de table, fans depuis des années, qui arboraient leurs tee-shirts DX generation. Madame est fan de Cena et Monsieur de HBK. Ils nous ont donné rendez-vous l'année prochaine en insistant : "Eh la prochaine fois il vous faut les tee-shirts !". En effet, nous étions plutôt tristounets avec nos tee-shirts noirs sans imprimés....

Côté phénomènes :
Pas trop de phénomènes de foire dans le public mais beaucoup de gros nounours.
On a failli devenir sourds à cause des deux minettes qui hurlaient derrière nous.

Mon sourire ému de la soirée :
Deux rang derrière, de l'autre côté du couloir, une petite dame, bientôt mamie ou presque, toute fadasse avec ses cheveux gris courts, fagotée de blanc et grande jupe en jean sans forme n'osant plus se lever de son siège mais, à chaque fin de combat, elle lancait son poing d'un air rageur et concentré en faisant le signe de l'index et auriculaire levés... je me suis même surprise à le faire ce fichu geste en fin de spectacle !

Ce fut trop court, j'en veux encore !

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