C'est lundi, c'est ravioli.
08h35 arrivée au bureau
08h42 arrivée au bureau de ma chef n°2, celle qui n'est pas en vacances
09h45 arrivée au bureau de ma directrice des ressources des hommes et des femmes
10h30 arrivée au bureau de l'open space de mes rêves
1 paquet de mouchoirs plus loin, ainsi qu'un vidage et une vidange de sac en règle plus tard, me voici de retour dans l'antre où le 5S n'existe pas...
Difficile de tenir, le silence est de mise, tout le monde ferme sa moule et me laisse travailler tranquille.
Mon dieu, faut-il pleurer toutes les larmes de son corps pour que les gens comprennent enfin et qu'ils vous lâchent la grappe ?
En résumé et pour faire vite : je me suis retenue de justesse à tout foutre par terre... je ne pars pas la tête haute et le sein arrogant comme dans une tragédie grecque, je me la joue gentille et disciplinée (vais-je un jour me foutre des baffes et des coups de fouet pour ma docilité de mouton (=ovine?) ?) et je sors à demi mot que "oui... je resterai le temps que l'on me trouve un(e) remplaçant(e)...mon but n'étant pas de mettre mes chefs dans la déjection"
A la fois, si je me barre comme une furie en claquant les portes, je me retrouve à la rue sans une thune après avoir donné 2 ans de ma vie à la grande entreprise, faudrait pas trop voir à pousser mémé vers la sortie des orties !
sur ce, à moi les tranxènes pour tenir encore un mois et une semaine de rab...
la suite au prochain épisode, j'ai un rendez-vous programmée de retournage de dos de RH en fin de semaine...
xoxo
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