Semaine 2 vacances :
Ma seconde et dernière semaine de vacances s’est déroulée de la manière suivante.
Un jour de Lessives, léger repos, amoure gloire et beauté
Deux jours de visite de meilleure amie enceinte avec également bébé de 14 mois rieur et mari légèrement allergique au rangement.
Un jour de coup de pompe mémorable avec mal aux articulations comme à l’anniversaire de mes 98 ans donc journée largement amputée par 3 heures de sieste.
Un jour de courses et de cuisine de taboulé et gâteaux.
Un jour de visite d’amis pondeurs d’enfants mais heureux de l’être.
Un jour de glande finale teintée de déprime du dimanche soir avant la reprise
Semaine 1 boulot :
Jour 1 : plutôt sympa après 6 cafés… des mails à lire, des merdouilles à démeler, ça va. Des discussions de « et toi t’étais où en vacances ? Ca s’est bien passé ? » difficiles à supporter mais faut faire avec.
Jour 2 + 3 + 4 : non mais quelle horreur de se lever à 06h30… Non mais non, je ne dirai plus à personne ce que j’ai fait de mes pauvres 2 semaines de vacances… Je vais plutôt me l’afficher sur la poitrine. D’ailleurs j’aurais dû acheter un tee-shirt de ma destination. Je comprends désormais pourquoi tout le monde veut acheter un tee-shirt de ses vacances. C’est pour éviter de dire aux collègues où ils étaient.
Purée, et j’ai mis tout ce temps pour comprendre le concept…
xoxo
Le blog nullache n'ayant rien d'intéressant. Tapez sur clic next ou le truc qui fait passer à un autre blog. Voilà. C'est ça.
Bienvenue
Eh oui, malheureux, vous avez atterri sur un blog personnel inutile...
Alors pour faire court : je n'ai toujours pas de passion à transmettre, pas vraiment de vie professionnelle exaltante à raconter, surtout pas d'enfants à élever, pas des masses d'amis, mais bon, des fois j'ai des collègues de bureau...
Alors pour faire court : je n'ai toujours pas de passion à transmettre, pas vraiment de vie professionnelle exaltante à raconter, surtout pas d'enfants à élever, pas des masses d'amis, mais bon, des fois j'ai des collègues de bureau...
jeudi 23 août 2012
dimanche 19 août 2012
NAN !
PAS BOULOT, NAN PAS BOULOT !
Demain, c'est sûr, j'y serai, la machine à café m'attend et les conversations xxxntes des destinations de vacances avec les collègues de boulot aussi...
2 semaines, 2 semaines, 2 semaines ! Comment voulez vous que je vive après deux pauvres semaines de vacances !
Bon, il ne faut pas trop que je râle, l'homme de la maison n'a pas eu de vacances... juste un weekend de 3 jours et un 15 août ferié. Et il a pas l'air de trop mal le vivre. Bon peut-être que c'est faisable pour lui, mais PAS POUR MOI !
Aïe.
xoxo
Demain, c'est sûr, j'y serai, la machine à café m'attend et les conversations xxxntes des destinations de vacances avec les collègues de boulot aussi...
2 semaines, 2 semaines, 2 semaines ! Comment voulez vous que je vive après deux pauvres semaines de vacances !
Bon, il ne faut pas trop que je râle, l'homme de la maison n'a pas eu de vacances... juste un weekend de 3 jours et un 15 août ferié. Et il a pas l'air de trop mal le vivre. Bon peut-être que c'est faisable pour lui, mais PAS POUR MOI !
Aïe.
xoxo
on va bloguer
sur une plage ou sur un oreiller, on va bloguer et se sentir navré...
Comment deux semaines de vacances sont passées à la vitesse supersonique d'une sieste à l'ombre des pins.
1ère semaine :
Ayant lâchement abandonné l'homme de la maison, qui lui même m'avait abandonnée pour partir dans le sud de la France, j'ai chaussé mes baskets ayant foulé le sol d'une boutique Louboutin, enfilé mon pantalon décontract de voyage, mis mon sac à dos sur mon dos et hop, c'était parti.
Un lever à 04h30 pour cause de départ de train à 06h30, un frère de copine célib, gentil comme un coeur qui nous a voiturées comme un dieu grec en tenue de pyjama / short de foot' supporter (je ne sais toujours pas) avec un bout d'oreiller sur les cheveux et hop nous étions installées en seconde classe dans le train.
Voyage sensass, mais zéro info croustillante à se mettre sous la dent, les mecs beaux n'allaient pas dans la même direction que nous, c'est sûr... RAS, mis à part une énorme souffrance nasale dans le second train, où une jeune femme, pas très propre sur elle s'est installée à côté de moi et où j'ai dû faire l'autruche pendant 45 minutes, la tête dans ma veste polaire, à faire semblant de dormir, quitte à passer pour une asociale face à ma copine célib qui m'a mitraillée avec son ifion.
Tout fut merveilleux dans cette semaine de camping de groupe à 5 heures de sommeil par nuit. Mon corps, habitué à se lever à 06h30, n'avait pas encore compris le concept de vacances et mes oreilles n'avaient pas compris que dans un camping, il faut être sélectif sur le bruit et le confort de la position allongée. Résultat pas beaucoup de repos compensateur, mais beaucoup de séances de glandes, de vélos, de glaces, de plages, de soleils, de repas à papoter de qui a fait quoi et quel père mignon est célibataire dans le camping. Par dessus tout ça, un chouilla de pluie, histoire d'utiliser tous les vêtements qu'on a mis dans le sac, donc pas de regrets pour la polaire et le pantalon de toile imperméable comme pour aller au ski.
Des amis fidèles au poste, moi un peu moins car j'ai une fâcheuse tendance à aimer le groupe mais à étouffer rapidement. D'où un caractère asocial et égoïste, souvent, que je regrette des fois mais pas tout le temps. Ce caractère de cochon m'a permis de faire une balade seule au soleil levant à 7h sur un vélo en bord d'océan, et ça, c'est le pied intégral.
Je n'ai pas réussi :
- à dégotter un hollandais pour la copine célib, car zéro bande de jeunes ou alors oui, mais non, trop trop jeunes. De plus, tous les pères célibataires du camping étaient finalement accompagnés de leur bobonne, à croire que c'est un must en vacances...
- à faire du footing de taré avec la copine célib et l'autre copine moins célib qui sont allées faire des footings avant le petit déjeuner
- à faire du vélo sans avoir mal aux fesses
Mais j'ai réussi :
- à trempouiller mon fessier dans l'océan frais
- à me lever tous les matins entre 06h et 07h, une sorte de nouveauté pour moi en vacances, la zone "travail" était trop proche et je n'avais pas assez utilisé la zone "parasite de la société au chomdu" pour être détendue du sommeil.
- à ne pas brûler une tente en nylon tout en cuisinant au double feu à gaz sous ladite tente (on a failli mourir mais finalement non, elle a bien tenu)
- à faire caca au camping et ça, c'est sympa
- à bronzer avec des tas de marques de bretelles, de tee-shirt, de short, de chaussettes
- à ne pas manger de crustacés ni de poisson à l'Ile de Ré, ce qui est sacrilège, je le sais. Il faut donc que j'y retourne !
- à ne pas me viander en vélo
- à ne pas trop ronfler sous la tente avec la copine célib, grâce à de merveilleuses pastilles mentholées
x0x0
Comment deux semaines de vacances sont passées à la vitesse supersonique d'une sieste à l'ombre des pins.
1ère semaine :
Ayant lâchement abandonné l'homme de la maison, qui lui même m'avait abandonnée pour partir dans le sud de la France, j'ai chaussé mes baskets ayant foulé le sol d'une boutique Louboutin, enfilé mon pantalon décontract de voyage, mis mon sac à dos sur mon dos et hop, c'était parti.
Un lever à 04h30 pour cause de départ de train à 06h30, un frère de copine célib, gentil comme un coeur qui nous a voiturées comme un dieu grec en tenue de pyjama / short de foot' supporter (je ne sais toujours pas) avec un bout d'oreiller sur les cheveux et hop nous étions installées en seconde classe dans le train.
Voyage sensass, mais zéro info croustillante à se mettre sous la dent, les mecs beaux n'allaient pas dans la même direction que nous, c'est sûr... RAS, mis à part une énorme souffrance nasale dans le second train, où une jeune femme, pas très propre sur elle s'est installée à côté de moi et où j'ai dû faire l'autruche pendant 45 minutes, la tête dans ma veste polaire, à faire semblant de dormir, quitte à passer pour une asociale face à ma copine célib qui m'a mitraillée avec son ifion.
Tout fut merveilleux dans cette semaine de camping de groupe à 5 heures de sommeil par nuit. Mon corps, habitué à se lever à 06h30, n'avait pas encore compris le concept de vacances et mes oreilles n'avaient pas compris que dans un camping, il faut être sélectif sur le bruit et le confort de la position allongée. Résultat pas beaucoup de repos compensateur, mais beaucoup de séances de glandes, de vélos, de glaces, de plages, de soleils, de repas à papoter de qui a fait quoi et quel père mignon est célibataire dans le camping. Par dessus tout ça, un chouilla de pluie, histoire d'utiliser tous les vêtements qu'on a mis dans le sac, donc pas de regrets pour la polaire et le pantalon de toile imperméable comme pour aller au ski.
Des amis fidèles au poste, moi un peu moins car j'ai une fâcheuse tendance à aimer le groupe mais à étouffer rapidement. D'où un caractère asocial et égoïste, souvent, que je regrette des fois mais pas tout le temps. Ce caractère de cochon m'a permis de faire une balade seule au soleil levant à 7h sur un vélo en bord d'océan, et ça, c'est le pied intégral.
Je n'ai pas réussi :
- à dégotter un hollandais pour la copine célib, car zéro bande de jeunes ou alors oui, mais non, trop trop jeunes. De plus, tous les pères célibataires du camping étaient finalement accompagnés de leur bobonne, à croire que c'est un must en vacances...
- à faire du footing de taré avec la copine célib et l'autre copine moins célib qui sont allées faire des footings avant le petit déjeuner
- à faire du vélo sans avoir mal aux fesses
Mais j'ai réussi :
- à trempouiller mon fessier dans l'océan frais
- à me lever tous les matins entre 06h et 07h, une sorte de nouveauté pour moi en vacances, la zone "travail" était trop proche et je n'avais pas assez utilisé la zone "parasite de la société au chomdu" pour être détendue du sommeil.
- à ne pas brûler une tente en nylon tout en cuisinant au double feu à gaz sous ladite tente (on a failli mourir mais finalement non, elle a bien tenu)
- à faire caca au camping et ça, c'est sympa
- à bronzer avec des tas de marques de bretelles, de tee-shirt, de short, de chaussettes
- à ne pas manger de crustacés ni de poisson à l'Ile de Ré, ce qui est sacrilège, je le sais. Il faut donc que j'y retourne !
- à ne pas me viander en vélo
- à ne pas trop ronfler sous la tente avec la copine célib, grâce à de merveilleuses pastilles mentholées
x0x0
vendredi 3 août 2012
zouala
C'est fait, j'y suis...
Après 9 mois de dur labeur sans aucune semaine de vacances, c'est fait, j'y suis.
Ce matin c'est la course : faire les jambes, les cheveux, les ongles, les bagages, et surtout. Tout faire rentrer dans ce fichu sac à dos.
J'ai la journée. C'est rassurant.
Demain grand départ !
Ce matin, c'est l'homme de la maison qui a quitté le nid pour 3 jours dans le sud.
Moi je pars à l'ouest.
xoxo
mercredi 1 août 2012
Non, mais non...
4 fois sur 5, les mecs assis à côté de moi dans le métro sentent très très très fortement la transpiration. C'est très désagréable.
Très rarement, les femmes assisent à côté de moi dans le métro sentent la transpiration.
D'où vient le problème ?
1 - Je suis une femme donc mes narines sont plus sensibles aux odeurs masculines ?
2 - Les hommes sont globalement sales ?
Je penche quand même pour la solution 2.
xoxo
Porte moi ma monnaie
Dans la très grande entreprise, lorsqu’on part en vacances, il est d’usage d’apporter des viennoiseries. Ce qui fait que depuis 15 jours, tous les 2 jours je me tape le café avec les collègues et les croissants, et les pains au chocolat, et les brioches, et les pralines … un vrai marathon diététique.
De plus, nos petites stagiaires bombasses, qui mangent des bonbons toute la journée et font du 36, commencent à partir et font également des goûters de départ.
Lors de ces départs, une cagnotte est à chaque fois organisée. Moi, bonne poire, je participe toujours à la cagnotte. En 4 semaines on en est à la 3ème cagnotte. La dernière fois, sympa comme je suis, je mets 10 euros de mon porte monnaie pour une stagiaire super sympa. Quelle n’a pas été ma surprise lorsque j’ai compris, par un jeu de « qui a posé ce billet de 10 euros sur mon bureau », que notre grand chef, le N+2 avait mis exactement la même somme que moi.
Et là je me dis : le monsieur touche un salaire plus que correct, et moi, pauvre assistante en intérim je mets exactement la même somme que le monsieur.
Dès lors, je vais bien revoir à la baisse mes participations, car il ne faudrait pas pousser le bouchon de la bonne poire trop loin.
Seulement voilà, la prochaine à partir, c'est moi... Alors je vaux combien dans le service ?
xoxo
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