Le fameux jetlag.
Le décalage horaire est un phénomène assez intéressant. La première nuit, j'ai dormi comme un bébé de minuit à 7h30 et le matin je me suis dit que j'avais assuré comme une bête, que tout allait se dérouler correctement, que franchement fallait pas en faire un tas.
Hier soir cela n'a pas du tout été comme il est prévu normalement : la nuit on dort, le jour on s'active. Après un petit repas léger le soir, mon corps a refusé de s'endormir et j'ai passé ma nuit devant la télé en tentant de m'abrutir avec des images chocs, des glaces et des cochonneries à manger.
Résultat : couchée à 5 h du matin au son des petits oiseaux qui chantent, levée à midi (il ne fait pas bon d'être femme d'intérieur comblée), me voilà pas vraiment fraîche avec la moitié de la journée derrière moi.
La nuit a été propice à un bon bol de culture télévisuelle : j'ai regardé en entier un reportage de 2007 sur des jeunes filles qui vivent seules et deviennent mères, genre Zola, un épisode d'une télé réalité qui rassemble des gens de télé réalité à Miami, genre Sunset Bitch. Un zappage en règle de la télévision française avec sans oublier la jeune fille qui lit des romans face caméra toute la nuit sur une chaîne de la TNT, un ovni chez les ovni.
Il est 13h30, j'ai comme qui dirait le visage dans l'arrière train.
xoxo
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