Mon calcul de l'autre jour est complètement faux, car aujourd'hui 2 conversations téléphoniques le matin et 3 le soir, donc on peut tabler facilement sur les 1 000 conversations débiles par an écoutées de manière forcée dans les transports en commun.
Depuis que je prends le train, une unique fois la conversation de mon voisin a été intéressante car j'avais appris en ouvrant grand mes esgourdes qu'un gros client de la boîte où je travaillais était franc-maçon... ça c'était de l'info !
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